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 Sebastian Disraeli // Turn me on.

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Sebastian Disraeli
TEACUP
Administrateur Fou de tasses à thé.
Sebastian Disraeli
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MessageSujet: Sebastian Disraeli // Turn me on.   Sebastian Disraeli // Turn me on. EmptyLun 25 Aoû - 18:19

Sebastian Disreali
"Ce que j’ai subi a fait de moi ce que je suis. "


   
It is the sound of your death.


   
©Tchapalow
NOM : Disraeli. L'histoire a été marqué par un homme se nommant ainsi, et nom est resté ancré dans la géographie contemporaine. Cet homme, ce n'est pas lui , mais un lointain aïeul.

PRÉNOM : Sebastian. Comme un accent germanique qui flotte dans l'air quand le prénom glisse sous la langue. Des origines lointaines presque oubliées d'un homme qui n'en est plus vraiment un.

NOM D'USAGE DANS LA ZONE : Teacup. On aurait pu penser que la violence du chasseur l'aurait affublé d'un surnom des plus sanguinaires, mais ce fut sa folie qui prit le pas en mettant en avant son étrange obsession pour les tasses à thé.

AGE AU MOMENT DE LA MORT : Trente-cinq ans. C'était encore le bel âge, il lui restait encore une vie à vivre... Mais qu'est ce qu'une vie face à une éternité ?

NOMBRE D’ANNÉES PASSÉES DANS LA ZONE: Cinq-cent-soixante-huit ans Andy Warhol disait quelque chose comme « l'éternité c'est long surtout vers la fin », pourtant il aurait tout donné lors de son dernier passage dans la simulation pour y rester durant l'éternité. Comme quoi il reste de rigueur de se taire quand on ne sait pas.

Abrupt: La rudesse fait partie de son caractère, trahissant son manque de sociabilisation, sa solitude et surtout une certaine maladresse envers les autres. Il n'est ni bavard, ni vraiment amical, et son manque certain d'amabilité lui attire bien plus souvent les foudres ou encore la vulgarité de ces autres que la vie met sur son chemin. Qu'importe, il ne s’intéresse que trop peu à cela, et passe l'éponge que trop facilement, passant son chemin sans un regard en arrière se contentant de hausser les épaules.
Aventureux: S'il n'est pas très à l'aise avec l'humanité, il entretient un rapport particulier avec la nature de l'outre-monde. Toujours en vagabondage, il laisse son animalité s'exprimer au sein de la simulation. Son statut de chasseur lui offre la possibilité de s'y balader sans trop de contrainte, néanmoins il ne perd pas de vue qu'il n'est pas immortel et qu'il y a bien des moyens d'y mourir.
Borné: Ou plus têtu qu'une mule. Quand une idée lui passe par la tête, il est difficile de la lui faire oublier, néanmoins ses idées restent ses idées et il n'est pas du genre à vouloir les imposer à qui que ce soit. Libre aux autres de penser comme ils le souhaitent tant que ceux-ci ne tentent pas de le convaincre de quoi que ce soit.
Cultivé: Contrairement à ce que l'on pourrait penser il n'est pas du genre à vivre à la dure et il fut un temps où il fut même quelqu'un de brillant pour son époque... Un peu trop brillant d'ailleurs, puisqu'on le taxa rapidement de sorcelleries et il fut brûler en tant que tel.
Coléreux: Il montre souvent les crocs, sans être plus violent que nécessaire, il n'en reste pas moins que son sang ne fait souvent qu'un tour le mettant dans des positions inconfortables. Il n'est pas du genre à fuir ou à tourner le dos aux situations difficiles, néanmoins il ne sait que trop bien que sa colère, souvent mal maîtrisée, peut poser de nombreux problèmes et qu'il n'est souvent que la victime la moins touchée par ceux-ci.
Courageux: Personne ne peut se vanter de ne pas avoir peur, mais bien plus nombreux sont ceux qui arrivent à les dépasser. Sebastian fait parti de ces gens qui passent outre ce sentiment de faiblesse, et qui ne détournent pas les yeux quand il s'agit de marcher vers l'inconnu, la douleur ou même à une mort imminente. C'est ce courage un peu fou, cette témérité insensée qui en fait, entre autre, un chasseur par excellence.
Cynique: Vivre aux milieu des autres contraint forcement à faire avec les convenances et un ordre bien établi. Néanmoins, à force de passer ses journées à arpenter l'outre-monde en compagnie de sa folie et de sa conscience il n'en est devenu que plus cynique. Il prône dès lors bien plus la liberté que le conformisme matérialiste de ces autres qui passent leurs journées enfermés entre quatre cloisons à surveiller un écran sans bouger leurs fesses du fauteuil dans lequel ils sont assis. La moquerie est gentillette, mais néanmoins judicieusement utilisée.
Ponctuel: Le sérieux fait parti intégrante de son caractère, mais il est une chose à laquelle il tient particulièrement que ce soit chez lui mais aussi chez les autres : la ponctualité. Son manque de patience ne vous laissera que peu de chance de le croiser si vous êtes en retard.
Possessif: Tout ce qui est à lui est à lui. C'est une règle immuable de sa vie sur laquelle il ne fait que trop rarement de concession. Peu partageur, il n'offre que trop rarement de sa personne, comme il fait en sorte de n'avoir à compter sur personne pour ne pas trop se lier avec le reste du monde. Ce qui est en lui est à lui, ce qui est en vous est à vous, ainsi les troupeaux seront bien gardés.

   


   CE QUE VOUS INSPIRE LA ZONE :

   Des « bip » résonnaient dans les couloirs, accompagnant le bruit des pales des ventilateurs qui ne cessaient jamais de tourner. La machine était un prodige dont personne ne connaissait les origines, mais elle nécessitait une quantité d'énergie monstre, et l'énergie qu'elle utilisait n'avait de cesse de faire monter la température au sein de ces quatre murs fermés. Toujours clos, et renfermant des secrets que tu n'avais que trop connu. C'était ça que tu fuyais alors que tu claquais les portes derrières toi en te disant qu'il t'avait fallu un peu plus de cinq siècle pour que la claustrophobie ne te gagne. L'enfermement t'était devenu impossible, et seul l'air libre de la zone te laissait encore entrevoir une chance de survie au milieu de cette folie contagieuse qui avait fini, toi aussi, par te prendre. Pourtant, à l'air libre, tu osais penser que même les immortels dans ton genre devaient aussi mourir un jour, que tout le monde devait crever un jour même les meilleurs parmi les êtres plus abjectes qui peuplaient les rangs des chasseurs. Pire que mieux, ou mieux que pire, tu n'aurais pas su dire où tu te situais, mais au sein de cette plaine qui s'ouvrait sous ton horizon tu savais que cela manquait de sens. Il ne s'agissait plus désormais de faire ce que la machine souhaitait, mais de faire ce que tu souhaitais de la machine. Jouant avec ses règles. Déréglant ses joueurs.  

   COMMENT ETES VOUS MORT ?

   Les cloches sonnes leurs terribles matines, annonçant une sentence mortelle alors que le peuple se masse sur la place de la ville. Ils se regroupent tous, arborant tous sur leur visage un sourire empreint d'excitation. Ce n'est pas tous les jours qu'ils peuvent assister à une exécution publique, ce n'est pas tous les jours que l'on brûle les sorcières et sous leurs yeux fous s'étend un bûcher autour duquel tourne un curé qui n'a cesse de psalmodier des prières en l'honneur d'un dieu sourd. Tous, noyés dans leur obscurantisme moyenâgeux, agissent de pair, traçant religieusement un signe de croix plein de dévotions quand le prêtre cesse de vouer l'âme du pécheur à l'infernal bûcher. Bientôt le bourreau serra là, mais pour l'instant on te laisse regarder ceux qui t'accusent. Ce sont eux les coupables de cette boucherie, ceux qui ne font rien et qui se délectent de ce spectacle en devenir. Ils s'en repaissent et éprouvent par cents fois trop de plaisir à l'idée de te voir brûler, mais peu leur importe ce plaisir tant qu'il y a l'ivresse, la rédemption attendra que les portes de confesse s'ouvrent à eux. La torche incandescente apparaît à l'horizon, galopant au même rythme que ton corps qui s'affolent. La fumée âcre s'élèvent au dessus des flammes qui déjà lèchent et pourlèchent ton corps. Tu te tords sous la douleur, tu hurles encore à n'en plus finir, réclamant une pitié que l'on ne veut t'offrir. Bientôt tout sera fini. Bientôt tu ne sentiras plus la douleur de l'incendie qui te ravage le corps car déjà tu ne sais plus crier, tes bronches se remplissent de la cendres et de suies. Tu voudrais pleurer mais tes yeux secs, tu voudrais cracher ta colère, mais déjà tu es mort.

   POURQUOI AVOIR CHOISI DE NE PAS RETOURNER SUR TERRE ?

   Par delà ton nom ou encore ton prénom, il est une chose que tu n'as jamais su oublier. C'était le regard que t'avaient lancer chacune de ces personnes réunies sur la place le jour de ton exécution. Tu les as maudit, si fort, que si un Diable avait existé il t'aurait été irrésistible, et ton souhait de vengeance aurait été exaucé... Cette vengeance n'est pas venue de ce beau diable fantasmé, elle est venue de toi, de tes mains, et de ta colère. Tu lui as donné forme dans cette autre vie dans cette outre monde alors que patiemment tu attendais que chacun d'entre eux termine sa vie pour tomber entre tes griffes. Tous. Tous tu les as retrouvé. Tous tu les as fait souffrir. Tous sauf un. T'échappant sur le fil du rasoir, retombant dans le monde des vivants avant que tu n'ai pu cueillir le reste de son existence dans le brasier de ta fureur. Il t'était impossible de la suivre, l'oubli ne t'était pas permit, alors tu as attendu un peu, juste un peu, te vouant corps et âmes à la cause des chasseurs en attendant son retour. Il te suffisait de peu, juste d'un nom pour le retrouver parmi tous ceux qui revenaient. Il t'avait échappé une fois, il ne t'échapperait plus jamais, et à chacune de ses désincarnations tu t'autorisais cette violence. Et tu te l'autorise encore, car il est la raison pour laquelle tu es resté là. Il est la raison pour laquelle tu échapperas à jamais aux cycles des réincarnations.

   


   




   



   
Through the Looking-Glass.

   

   PSEUDO : Tchapalow mais vous pouvez aussi m'appeler Mau AGE : 24ansAVATAR : Jamie Dornan COMMENT AVEZ TROUVE LE FORUM ? Par la volonté du saint-esprit. Amen. QUELQUE CHOSE A RAJOUTER ? Voudriez vous une petite tasse de thé? CRÉDITS (avatar, signa, icônes) : Tchapalow & Tumblr!
   

   


   


Dernière édition par Sebastian Disraeli le Mar 26 Aoû - 17:08, édité 14 fois
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MessageSujet: Re: Sebastian Disraeli // Turn me on.   Sebastian Disraeli // Turn me on. EmptyLun 25 Aoû - 18:20

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